my life

Thursday, March 31, 2011

LA VIE EST BELLE

LE VENT EST DOUX

Le vent est doux comme une main de femme,
Le vent du soir qui coule dans mes doigts ;
L'oiseau bleu s'envole et voile sa voix,
Les lys royaux s'effeuillent dans mon âme ;

Au clavecin s'alanguissent les gammes,
Le soleil est triste et les coeurs sont froids ;
Le vent est doux comme une main de femme,
Le vent du soir qui coule dans mes doigts.

Je suis cet enfant que nul ne réclame,
Qu'une dame pâle aimait autrefois ;
Laissez le soleil mourir sur les toits,
Dormir la mer plus calme, lame à lame...
Le vent est doux comme une main de femme.

LES FEMMES SONT SUR LA TERRE

Les femmes sont sur la terre
Pour tout idéaliser ;
L'univers est un mystère
Que commente leur baiser.

C'est l'amour qui, pour ceinture,
A l'onde et le firmament,
Et dont toute la nature,
N'est, au fond, que l'ornement.

Tout ce qui brille, offre à l'âme
Son parfum ou sa couleur ;
Si Dieu n'avait fait la femme,
Il n'aurait pas fait la fleur.

A quoi bon vos étincelles,
Bleus saphirs, sans les yeux doux ?
Les diamants, sans les belles,
Ne sont plus que des cailloux ;

Et, dans les charmilles vertes,
Les roses dorment debout,
Et sont des bouches ouvertes
Pour ne rien dire du tout.

Tout objet qui charme ou rêve
Tient des femmes sa clarté ;
La perle blanche, sans Eve,
Sans toi, ma fière beauté,

Ressemblant, tout enlaidie,
A mon amour qui te fuit,
N'est plus que la maladie
D'une bête dans la nuit.

Wednesday, March 30, 2011

LES PASSANTES


Je veux dédier ce poème
A toutes les femmes qu'on aime
Pendant quelques instants secrets
A celles qu'on connaît à peine
Qu'un destin différent entraîne
Et qu'on ne retrouve jamais.

A celle qu'on voit apparaître
Une seconde à sa fenêtre
Et qui, preste, s'évanouit
Mais dont la svelte silhouette
Est si gracieuse et fluette
Qu'on en demeure épanoui.

A la compagne de voyage
Dont les yeux, charmant paysage
Font paraître court le chemin
Qu'on est seul, peut-être, à comprendre
Et qu'on laisse pourtant descendre
Sans avoir effleuré sa main.

A la fine et souple valseuse
Qui vous sembla triste et nerveuse
Par une nuit de carnaval
Qui voulut rester inconnue
Et qui n'est jamais revenue
Tournoyer dans un autre bal.

A celles qui sont déjà prises
Et qui, vivant des heures grises
Près d'un être trop différent
Vous ont, inutile folie,
Laissé voir la mélancolie
D'un avenir désespérant.

A ces timides amoureuses
Qui restèrent silencieuses
Et portent encor votre deuil
A celles qui s'en sont allées
Loin de vous, tristes esseulées
Victimes d'un stupide orgueil.

Chères images aperçues
Espérances d'un jour déçues
Vous serez dans l'oubli demain
Pour peu que le bonheur survienne
Il est rare qu'on se souvienne
Des épisodes du chemin.

Mais si l'on a manqué sa vie
On songe avec un peu d'envie
A tous ces bonheurs entrevus
Aux baisers qu'on n'osa pas prendre
Aux coeurs qui doivent vous attendre
Aux yeux qu'on n'a jamais revus.

Alors, aux soirs de lassitude
Tout en peuplant sa solitude
Des fantômes du souvenir
On pleure les lèvres absentes
De toutes ces belles passantes
Que l'on n'a pas su retenir.

L'EDUCATION

Laridon et César, frères dont l'origine
Venait de chiens fameux, beaux, bien faits et hardis,
A deux maîtres divers échus au temps jadis,
Hantaient, l'un les forêts, et l'autre la cuisine.
Ils avaient eu d'abord chacun un autre nom ;
Mais la diverse nourriture
Fortifiant en l'un cette heureuse nature,
En l'autre l'altérant, un certain marmiton
Nomma celui-ci Laridon :
Son frère, ayant couru mainte haute aventure,
Mis maint Cerf aux abois, maint Sanglier abattu,
Fut le premier César que la gent chienne ait eu.
On eut soin d'empêcher qu'une indigne maîtresse
Ne fit en ses enfants dégénérer son sang :
Laridon négligé témoignait sa tendresse
A l'objet le premier passant.
Il peupla tout de son engeance :
Tournebroches par lui rendus communs en France
Y font un corps à part, gens fuyants les hasards,
Peuple antipode des Césars.
On ne suit pas toujours ses aïeux ni son père :
Le peu de soin, le temps, tout fait qu'on dégénère :
Faute de cultiver la nature et ses dons,
O combien de Césars deviendront Laridons !

LA LUNE OFFENSEE

Ô Lune qu'adoraient discrètement nos pères,
Du haut des pays bleus où, radieux sérail,
Les astres vont se suivre en pimpant attirail,
Ma vieille Cynthia, lampe de nos repaires,

Vois-tu les amoureux, sur leurs grabats prospères,
De leur bouche en dormant montrer le frais émail ?
Le poète buter du front sur son travail ?
Ou sous les gazons secs s'accoupler les vipères ?

Sous ton domino jaune, et d'un pied clandestin,
Vas-tu, comme jadis, du soir jusqu'au matin,
Baiser d'Endymion les grâces surannées ?

- " Je vois ta mère, enfant de ce siècle appauvri,
Qui vers son miroir penche un lourd amas d'années,
Et plâtre artistement le sein qui t'a nourri ! "

APPARITION

Toi qui du jour mourant consoles la nature,
Parais, flambeau des nuits, lève-toi dans les cieux ;
Etends autour de moi, sur la pâle verdure,
Les douteuses clartés d'un jour mystérieux !
Tous les infortunés chérissent ta lumière ;
L'éclat brillant du jour repousse leurs douleurs :
Aux regards du soleil ils ferment leur paupière,
Et rouvrent devant toi leurs yeux noyés de pleurs.

Viens guider mes pas vers la tombe
Où ton rayon s'est abaissé,
Où chaque soir mon genou tombe
Sur un saint nom presque effacé.
Mais quoi ! la pierre le repousse !...
J'entends !... oui ! des pas sur la mousse !
Un léger souffle a murmuré ;
Mon oeil se trouble, je chancelle :
Non, non, ce n'est plus toi ; c'est elle
Dont le regard m'a pénétré !...

Est-ce bien toi ? toi qui t'inclines
Sur celui qui fut ton amant ?
Parle ; que tes lèvres divines
Prononcent un mot seulement.
Ce mot que murmurait ta bouche
Quand, planant sur ta sombre couche,
La mort interrompit ta voix.
Sa bouche commence... Ah ! j'achève :
Oui, c'est toi ! ce n'est point un rêve !
Anges du ciel, je la revois !...

Ainsi donc l'ardente prière
Perce le ciel et les enfers !
Ton âme a franchi la barrière
Qui sépare deux univers !
Gloire à ton nom, Dieu qui l'envoie !
Ta grâce a permis que je voie
Ce que mes yeux cherchaient toujours.
Que veux-tu ? faut-il que je meure ?
Tiens, je te donne pour cette heure
Toutes les heures de mes jours !

Mais quoi ! sur ce rayon déjà l'ombre s'envole !
Pour un siècle de pleurs une seule parole !
Est-ce tout ?... C'est assez ! Astre que j'ai chanté,
J'en bénirai toujours ta pieuse clarté,
Soit que dans nos climats, empire des orages,
Comme un vaisseau voguant sur la mer des nuages,
Tu perces rarement la triste obscurité ;
Soit que sous ce beau ciel, propice à ta lumière,
Dans un limpide azur poursuivant ta carrière,
Des couleurs du matin tu dores les coteaux ;
Ou que, te balançant sur une mer tranquille,
Et teignant de tes feux sa surface immobile,
Tes rayons argentés se brisent dans les eaux !

BRUMES ET PLUIES

Ô fins d'automne, hivers, printemps trempés de boue,
Endormeuses saisons ! je vous aime et vous loue
D'envelopper ainsi mon coeur et mon cerveau
D'un linceul vaporeux et d'un vague tombeau.

Dans cette grande plaine où l'autan froid se joue,
Où par les longues nuits la girouette s'enroue,
Mon âme mieux qu'au temps du tiède renouveau
Ouvrira largement ses ailes de corbeau.

Rien n'est plus doux au coeur plein de choses funèbres,
Et sur qui dès longtemps descendent les frimas,
Ô blafardes saisons, reines de nos climats,

Que l'aspect permanent de vos pâles ténèbres,
- Si ce n'est, par un soir sans lune, deux à deux,
D'endormir la douleur sur un lit hasardeux.

EGALITE

Dans un grand jardin en cinq actes,
Conforme aux préceptes du goût,
Où les branches étaient exactes,
Où les fleurs se tenaient debout,

Quelques clématites sauvages
Poussaient, pauvres bourgeons pensifs,
Parmi les nobles esclavages
Des buis, des myrtes et des ifs.

Tout près, croissait, sur la terrasse
Pleine de dieux bien copiés,
Un rosier de si grande race
Qu'il avait du marbre à ses pieds.

La rose sur les clématites
Fixait ce regard un peu sec
Que Rachel jette à ces petites
Qui font le choeur du drame grec.

Ces fleurs, tremblantes et pendantes,
Dont Zéphyre tenait le fil,
Avaient des airs de confidentes
Autour de la reine d'avril.

La haie, où s'ouvraient leurs calices
Et d'où sortaient ces humbles fleurs,
Écoutait du bord des coulisses
Le rire des bouvreuils siffleurs.

Parmi les brises murmurantes
Elle n'osait lever le front ;
Cette mère de figurantes
Était un peu honteuse au fond.

Et je m'écriai : — Fleurs éparses
Près de la rose en ce beau lieu,
Non, vous n'êtes pas les comparses
Du grand théâtre du bon Dieu.

Tout est de Dieu l'oeuvre visible.
La rose, en ce drame fécond,
Dit le premier vers, c'est possible,
Mais le bleuet dit le second.

Les esprits vrais, que l'aube arrose,
Ne donnent point dans ce travers
Que les campagnes sont en prose
Et que les jardins sont en vers.

Avril dans les ronces se vautre,
Le faux art que l'ennui couva
Lâche le critique Lenôtre
Sur le poète Jéhovah.

Mais cela ne fait pas grand-chose
À l'immense sérénité,
Au ciel, au calme grandiose
Du philosophe et de l'été.

Qu'importe ! croissez, fleurs vermeilles !
Soeurs, couvrez la terre aux flancs bruns,
L'hésitation des abeilles
Dit l'égalité des parfums.

Croissez, plantes, tiges sans nombre !
Du verbe vous êtes les mots.
Les immenses frissons de l'ombre
Ont besoin de tous vos rameaux.

Laissez, broussailles étoilées,
Bougonner le vieux goût boudeur ;
Croissez, et sentez-vous mêlées
À l'inexprimable grandeur !

Rien n'est haut et rien n'est infime.
Une goutte d'eau pèse un ciel ;
Et le mont Blanc n'a pas de cime
Sous le pouce de l'Éternel.

Toute fleur est un premier rôle ;
Un ver peut être une clarté ;
L'homme et l'astre ont le même pôle ;
L'infini, c'est l'égalité.

L'incommensurable harmonie,
Si tout n'avait pas sa beauté,
Serait insultée et punie
Dans tout être déshérité.

Dieu, dont les cieux sont les pilastres,
Dans son grand regard jamais las
Confond l'éternité des astres
Avec la saison des lilas.

Les prés, où chantent les cigales,
Et l'Ombre ont le même cadran.
Ô fleurs, vous êtes les égales
Du formidable Aldébaran.

L'intervalle n'est qu'apparence.
Ô bouton d'or tremblant d'émoi,
Dieu ne fait pas de différence
Entre le zodiaque et toi.

L'être insondable est sans frontière.
Il est juste, étant l'unité.
La création tout entière
Attendrit sa paternité.

Dieu, qui fit le souffle et la roche,
Oeil de feu qui voit nos combats,
Oreille d'ombre qui s'approche
De tous les murmures d'en bas,

Dieu, le père qui mit dans les fêtes
Dans les éthers, dans les sillons,
Qui fit pour l'azur les comètes
Et pour l'herbe les papillons,

Et qui veut qu'une âme accompagne
Les êtres de son flanc sortis,
Que l'éclair vole à la montagne
Et la mouche au myosotis,

Dieu, parmi les mondes en fuite,
Sourit, dans les gouffres du jour,
Quand une fleur toute petite
Lui conte son premier amour.
Victor Hugo sur www.poesie-francaise.fr

SI DES MAUX RENAISSANTS AVEC MA PATIENCE

Si des maux renaissants avec ma patience
N'ont pouvoir d'arrêter un esprit si hautain,
Le temps est médecin d'heureuse expérience ;
Son remède est tardif, mais il est bien certain.

Le temps à mes douleurs promet une allégeance,
Et de voir vos beautés se passer quelque jour ;
Lors je serai vengé, si j'ai de la vengeance
Pour un si beau sujet pour qui j'ai tant d'amour.

Vous aurez un mari sans être guère aimée,
Ayant de ses désirs amorti le flambeau ;
Et de cette prison de cent chaînes formée
Vous n'en sortirez point que par l'huis du tombeau.

Tant de perfections qui vous rendent superbe,
Les restes du mari, sentiront le reclus ;
Et vos jeunes beautés flétriront comme l'herbe
Que l'on a trop foulée et qui ne fleurit plus.

Vous aurez des enfants, des douleurs incroyables,
Qui seront près de vous et crieront à l'entour ;
Lors fuiront de vos yeux les soleils agréables,
Y laissant pour jamais des étoiles autour.

Si je passe en ce temps dedans votre province,
Vous voyant sans beautés et moi rempli d'honneur,
Car peut-être qu'alors les bienfaits d'un grand Prince
Marieront ma fortune avecque le bonheur ;

Ayant un souvenir de ma peine fidèle,
Mais n'ayant point à l'heure autant que j'ai d'ennuis,
Je dirai : Autrefois cette femme fut belle,
Et je fus autrefois plus sot que je ne suis.

L'INNOCENCE

Si tu veux nous ferons notre maison si belle
Que nous y resterons les étés et l'hiver !
Nous verrons alentour fluer l'eau qui dégèle,
Et les arbres jaunis y redevenir verts.

Les jours harmonieux et les saisons heureuses
Passeront sur le bord lumineux du chemin,
Comme de beaux enfants dont les bandes rieuses
S'enlacent en jouant et se tiennent les mains.

Un rosier montera devant notre fenêtre
Pour baptiser le jour de rosée et d'odeur ;
Les dociles troupeaux, qu'un enfant mène paître,
Répandront sur les champs leur paisible candeur.

Le frivole soleil et la lune pensive
Qui s'enroulent au tronc lisse des peupliers
Refléteront en nous leur âme lasse ou vive
Selon les clairs midis et les soirs familiers.

Nous ferons notre coeur si simple et si crédule
Que les esprits charmants des contes d'autrefois
Reviendront habiter dans les vieilles pendules
Avec des airs secrets, affairés et courtois.

Pendant les soirs d'hiver, pour mieux sentir la flamme,
Nous tâcherons d'avoir un peu froid tous les deux,
Et de grandes clartés nous danseront dans l'âme
À la lueur du bois qui semblera joyeux.

Émus de la douceur que le printemps apporte,
Nous ferons en avril des rêves plus troublants.
— Et l'Amour sagement jouera sur notre porte
Et comptera les jours avec des cailloux blancs...

IL EST UN AIR

Il est un air, pour qui je donnerais,
Tout Rossini, tout Mozart et tout Weber.
Un air très vieux, languissant et funèbre,
Qui pour moi seul a des charmes secrets !

Or, chaque fois que je viens à l'entendre,
De deux cents ans mon âme rajeunit...
C'est sous Louis treize; et je crois voir s'étendre
Un coteau vert, que le couchant jaunit;

Puis un château de brique à coins de pierre,
Aux vitraux teints de rougeâtres couleurs,
Ceint de grands parcs, avec une rivière
Baignant ses pieds, qui coule entre les fleurs;

Puis une dame à sa haute fenêtre,
Blonde aux yeux noirs, en ses habits anciens,
Que dans une autre existence peut-être,
J'ai déjà vue...et dont je me souviens !

JOUR D'UNE VIE

Par un beau jour, l’enfant naît,
Nature le libère à jamais !
Mère porteuse de vie sourit,
Fière de la création du petit !

Privé d’un tiède univers d’eau,
Bébé d’un cri plonge dans l’air !
Bel enfant est bienvenu au berceau,
Frêle esquif pour une vie sur terre !

Puisse la vie te donner bonheur,
Puisse joie te réchauffer le coeur,
Puisse l’outil de tendresse t’être ami,
Puisses-tu dans la félicité être admis !

Etrange passage qu’une naissance,
Gestation d’un petit rien en être vivant,
Union de peu de choses en peu de temps,
Pour que vie naisse de sa présence.

Fruit d’un amour, fruit des entrailles,
Ton premier instant rend des sourires,
Après un si long et rude travail,
Père et mère de bonheur te mirent.

Tu es tendre et belle, tu es si beau,
Prends l’amour des gens de bien,
Donne l’amour à tous les tiens,
Que le bonheur soit ton vaisseau !

Thursday, March 24, 2011

THE HOLE IN MY HEART

When you left,
You took a piece of me.
I constantly find myself
Down on bended knee.

I see you in my dreams
Every night and day,
I run to be in your loving arms
But you slowly walk away.

Why do you do this?
Why do you run?
I'm afraid to think
You're seeing someone.

I love you dearly,
And I wish you could see,
What in the world,
You're doing to me

THE CHANCE OF HAPPINESS EQUALS THE RISK OF PAIN

Whenever you love, it's too good to be true.
Even so, it's truer than you believe,
Nor will you know till it vanishes again.
Time is a sea which opens where you cleave
Yet roils over what you leave behind.

For now, my love sings in the stars,
Or hisses against rocks like the sea,
Unraveling your life when you pause to grieve,
Returning with the sunlight, with the rain.

Wednesday, March 23, 2011

CHARMED

You have this charm,
this certain delicate touch.
The ability to reach into
my day and affect it so much.

My soul is disturbed,
ecstacy results as a product
of your love.
I will return with packets of trust,
what we have I hold in my clutch.

Dreams become reality with
kisses a must.

THE SACRED FRUIT

The sacred fruit of your soul was lost
Taken unrightfully, stolen
It hurt immensely

You shared the holiness with others
To rid the raunch treachery

Then met a man who treated you horribly
Abused you, hit you, took control of you

I came and pleased you
Treated you well, made you happy
Shared our thoughts
Entered each others minds

We talked about memories
Things we had
Things we want
What we need

We laughed
Cried
Smiled

The love we had
The love we have
I want to be with you till the end
I want to give you my fruit
And share my wine

COLD SILENCE


With out a word was how you left
the silence kills my soul
cold from the hurt my heart will stay
but my love for you I'll never let go
so I'll die with hope of thinking you'll come back
but love was everything we ever lacked

Goodbye was what you could have at lest said
or maybe I'm just not worth those words
or was it fear of seeing tears
well if so i hope you know they fall in the shadow of my soul
were my conscience calls to your name

Words my moth can never say come to mind
I'd tell you if you were mine

In my gallery are pictures of you
you'll find in my heart
were dreams are only dreams made to never come true
but I'll always be dreaming dreaming of you
because hun it's you
the one i plead for the one i bleed for
the one i need to hold.

GOODBYE

I look into your eyes, your heart, your soul -
Were you really loving me or lying?
My love goes deeper than I ever imagined it could
or even would.

Love is a part of life, I know.
So is the pain and the sorrow,
along with the smiles, and the joys.
My life will be forever changed
because I loved you.

It seemed as though my world was falling apart,
along with my heart.
No longer will I let your memory hurt me.
I will move on with my life,
no longer letting you be a part of me.

DOUX REVEIL

Quelle merveille de pouvoir
Se réveiller au chant des oiseaux
Dans les bras de son amoureux!

Il fait encore nuit, une douce musique nous éveille
Nous sommes enlacés, à écouter ces merveilles
Les oiseaux vocalisent
Ils nous bercent, tout en douceur
Apaisant ainsi les craintes dans nos coeurs.

Je te regarde dans cette pénombre
J'entends ton respire dans l'ombre
Ton coeur bat pour accompagner
Le chant de ces oiseaux majestueux
S'élevant dans le ciel à peine bleu
Presque mythique, tout est délicieux.

Nous sommes attentifs à nos désirs
Ton corps s'agite
Tu m'enveloppes de tendresse
Nos bouches sont à fleur de respire
Mon corps bouge. Temps d'ivresse!

Mes mains se sont jointes aux tiennes
Nos jambes sont entremêlées à l'union
Nous ne faisons plus qu'un.

L'aube se lève à l'horizon
Je n'oublierai pas ces chansons
Ce doux et superbe réveil
Presque irréel.

LE TEMPS D'UNE DANSE

La démarche hésitante, elle vient vers moi,
Me présentant élégamment ses si beaux doigts.
A la vue tes lèvres, mon corps revigoré,
T'implore pour que tu te joignes à mes côtés.

Vivons, éphémère, cette si belle romance.
Je t'en prie, donne-moi ton être, le temps d'une danse.

Et lorsque la musique vient combler le silence,
Je réalise ô combien j'ai de la chance,
D'avoir à mes côtés cette si belle fille,
Que chaque homme aurait aimé avoir dans sa vie.

Vivons, éphémère, cette si belle romance.
Je t'en prie, donne-moi ton être, le temps d'une danse.

Ce n'est pas nos corps qui fusionnent, ce sont nos âmes.
Et regarde autour de nous tout ces infâmes,
Jalousant, insultant la terre que nous foulons.
Qu'importe, rien ne détruira notre passion.

Vivons, éphémère, cette si belle romance,
Je t'en prie donne-moi ton être, le temps d'une danse.

La cadence de nos pas fait écho dans ce monde,
Dont la convoitise, les gens ne sentent que l'onde.
Tu sais, la peine a déjà perdu tout son sens,
Au commencement même de notre romance.

Le temps d'une danse, mon corps est rempli de joie.
Donne-moi un peu de nous, donne-moi un peu de toi.

TROUBLES

La courbe de vos épaules
M'a violemment émue
J'ai eu envie d'y poser mes lèvres
De respirer le parfum de votre peau
De vous serrer dans mes bras
De sentir votre corps contre le mien
J'ai eu envie de lire
Du désir dans vos yeux
Que nos chaleurs s'échangent
Que nos odeurs se mélangent
J'ai eu envie de vous murmurer
Des mots tendres
De caresser vos cheveux
De caresser votre ventre
J'ai eu envie de goûter
À la saveur de vos baisers
Vous bousculez mon coeur
Et vous troublez mon âme...

UN BOUQUET

Dans le jardin de mon coeur
Des mots en éclosion
Tous ont la couleur de tes yeux
Le parfum de ton sourire
Ils se penchent les uns sur les autres
Comme tes lèvres sur mon cou
Mais ils me surprennent parfois
Ils n'arrêtent pas de s'émouvoir
Lorsque tu parais
De gesticuler dans tous les sens
Lorsque tu approches
Et lorsque tu es tout près
Alors miracle!
Ils se sont tous tassés
Ils ont tous fanés
Je ne les retrouve plus
Ou presque plus
Sauf celui-ci qui traîne par là
Je l'attrape
Tiens un autre encore
Lui aussi je l'attrape
En voilà un troisième
Hep! Dans ma main
Cela me fait un bouquet de mots
Un bouquet de ces trois mots
Ces mots les plus beaux
Que je t'offre

DOUCE MELODIE D'AUTOMNE

Assise au bord de ma fenêtre,
     j'admire cette saison et sa magie.
Dame nature, telle une peintre,
     a peint les feuilles de la couleur de l'amour,
Et nous fait écouter le doux vent
     qui nous chante sa mélodie.
Je me laisse bercer par cette poésie
     qui me caresse de son souffle de velours,
Et je pense à toi
     et à ces agréables moments passés à tes côtés
C'est à ce moment que je me rends compte
     que je suis amoureuse.
Je ne croyais plus ressentir
     cette agréable sensation de légèreté
Mais grâce à ton amour je revis enfin
     et près de toi je suis heureuse.

Pour la première fois de ma vie,
     je suis prête à m'envoler les yeux fermés
Tel un oiseau soigné
     à qui on vient de lui rendre sa douce liberté
Quitter cette cage à la fois réconfortante et étouffante
     sans regarder en arrière
Pour redécouvrir les merveilles de la vie d'un autre regard
     et ne plus m'en faire,
Car cette seconde chance je la chérirai
     et ne laisserai personne me l'enlever
Je suis prête à braver tous les orages et les tempêtes
     pour rester à tes côtés.

Maintenant nous construisons tranquillement notre nid d'amour
Pour y vivre ensemble et cela pour toujours.

Tu es ma liberté, tu es ma joie,
     tu es ma moitié qui m'a tellement manquée.
Je t'aime et t'aimerai pour l'éternité.

LA VOIX

Quand j'entends ta voix
Je me fais des ailes
Je plane de bonheur et de joie
Comme les pigeons, comme les hirondelles

Ta voix, je l'entends en musique
Magique et unique
Elle efface tous mes temps
Pour ne laisser que le printemps

Par ta voix, je te revois
Aussi belle que la première fois
Dans ta robe de mariée en soie
Dans ta main, un bouquet fleurs
Dans tes yeux, une lueur
D'espoir et de bonheur
Dans tes pensées
De nuit et de jour
Un avenir sans passé
De tendresse et d'amour

Par ta voix, je te revois
Au milieu de tous ces enfants
Petits et grands
Dansant autour de toi
Chantant notre amour, chantant notre joie

Ta voix me renvoie
Au début, à la première fois
Là bas, loin au bord de cette mer
Où les vagues caressaient le sable et le rocher
Où tes longs cheveux dorés
Sillonnaient à travers les rayons du soleil, au coucher
Se déferlaient en douceur, au toucher
De ton corps de fée
Comme les vagues de cette mer

Ta voix me renvoie
Au début, à la première fois
Quand nos regards se sont embrassés
Quand nos coeurs se sont mariés
Au dessus de nos volontés
Le temps s'est soudain, mis en pause
Pour effacer le passé, remis en cause
Ecrire sur nos pages blanches
Assoiffées de tendresse et d'amour
Mes mots errants qui te faisaient la cour
Pour déclarer la naissance de notre histoire
Difficile à lire, difficile à croire

Ta voix me remet sur la voie
Menant auprès de toi
À ma famille, sous mon toit
À l'abri de la pluie, à l'abri du froid

AMOUR D'UN TEMPS

Sans toi, le repos éternel n'existe pas
Sans toi, ma vie est inutile ici bas.
Sans mon oxygène, respirer devient difficile
Sans mon inspiration, ma plume devient futile.

Je ne veux pas te perdre une seconde fois
Je ne veux plus imaginer ma vie sans toi.
Tellement heureuse de t'avoir retrouvé
Que mon coeur en est tout troublé.

Tu es ma drogue aux douces merveilles
Comme la rose se langui du soleil.
Une perle de pluie sur mes pétales fins
Aussi fraîche que la rosée d'un beau matin.

La douceur de ta main sur ma joue,
La chaleur de tes baisers dans mon cou,
Font chavirer mon coeur à chaque instant
Et frissonner mon âme en tout temps.

RENCONTRE DEPUIS TOUJOURS

Dès notre rencontre j'ai su que tu étais la personne que je cherchais. Avant toi, personne ne m'avait procuré autant de joie. Ton sourire, ta personnalité, ta gentillesse, ton savoir-faire, tout ce que tu es m'émerveille. Si je n'avais pu te rencontrer, je serais encore à te chercher. Je réalise que cette merveilleuse rencontre n'était que le début d'un magnifique roman d'amour! Tu es la personne qui compte le plus dans ma vie. La chose la plus important que j'aie pu faire, ça a été de te rencontrer... Ce que les yeux peuvent regarder, et les oreilles écouter, n'est rien à comparer de ce que le coeur peut éprouver.

Par la confiance et la compréhension, par une caresse ou un geste doux, par un sourire qui, à sa façon, peut dire tout, par un regard, un baiser, un silence qui peut traduire tout ce que je pense... Car l'amour a mille visages et un langage privilégié que nos deux coeurs vont toujours partager. Nos coeurs sont scellés par cette clé magique que je porte sur mon coeur et qui est la seule à pouvoir ouvrir le petit cadenas qui retient nos coeurs ensemble.

J'aime bien me rappeler l'instant où nous nous sommes rencontré pour la première fois, le coeur rempli d'espoir et la tête pleine de projets. J'aime bien aussi essayer de prévoir tout ce que l'avenir nous réserve d'agréable et d'inédit. Mais ce que je préfère par-dessus tout, c'est profiter pleinement du présent avec toi!

L'AGE DU SOURIRE

Avoir vécu toutes ces années, passé par toutes ces épreuves
L'âge où la vie est à un tournant, l'âge ou tout, soudain, devient beau
Entendre ta voix douce, ton rire ruisselant dans mes rêves
Ton rire qui coule, comme un filet d'eau fraîche le long de ma peau.

Derrière ce rire, j'imagine ton beau sourire généreux
Plissant cette peau finement hâlée par le rythme des saisons
Annonçant les années passées, ces petites rides au coin des yeux
Font adoucir les traits des visages et donnent cet air si bon.

Tes dents d'un blanc éclatant, telles des perles précieuses
Garnissent l'écrin que sont ces lèvres pulpeuses et gourmandes
Tout cela forme cet air avenant et ces belles lèvres rieuses
Qui, pour ceux qui te regardent, est la plus belle des offrandes.

Souviens toi de ceci : au fil des années qui doucement arrivent
Pour chaque sourire donné, un peu de bonheur atteint le coeur
De celui qui te regarde, et tu remarqueras, que très souvent,
Automatiquement, un sourire répondra au tien, avec douceur.

DANS LES BRAS D'UN ANGE

À la lueur d'une seule chandelle
Les yeux remplis d'étincelles
Je t'emprisonne de mon regard
Je m'abandonne à toi, ce soir

Nos corps s'unissent en cet instant de tendresse
Tu me fais frémir de tes douces caresses
Mon seul désir en cette nuit d'amour
Est de rester captive de tes bras pour toujours

En cette nuit, mon âme devient tienne
Désormais mon corps et mon coeur t'appartiennent
Un feu brûle intensément dans mon coeur
Et c'est toi qui consumes cette chaleur

Je suis émerveillée par ton corps et ta beauté
Je chéris chaque instant passé à tes cotés
Je remercie le ciel de t'avoir mis sur mon chemin
Je remercie Dieu d'avoir ainsi forgé le destin

FANTASM

Elle avait...
Elle avait un sourire à faire damner les anges,
Même les plus saints d'entre eux!
Elle avait dans son rire quelque chose qui dérange,
Qui promettait les cieux.

Elle avait...
Elle avait une grâce à faire pâlir les muses,
Même celle de la danse!
Elle avait de ces gestes comme un chat qui s'amuse,
De parfaite cadence.

Elle avait...
Elle avait une voix volée au rossignol,
Sensuelle et caressante.
Elle avait sur les lèvres comme une clef de sol,
De musique incessante.

Elle avait...
Elle avait le regard d'un bleu d'azur foncé,
A noyer l'innocent.
Elle avait dans les yeux l'éclat de volupté,
Que donne les trente ans.

Elle avait...
Elle avait la beauté sans rien devoir au diable,
Simple et éclaboussante.
Elle avait le visage de baisers désirables,
De douceurs affolantes.

Elle avait...
Elle avait l'aveuglante lumière du soleil
Brûlant mes pauvres yeux.
Elle avait disparu le matin au réveil,
Insensible à mes voeux.

Elle était...
Elle était mes fantasmes, mon désir, mon ciel
Pour mon esprit en feu,
Peu importe après tout qu'elle fût irréelle,
Ca me rendait heureux!

DEMANDE LA MAIN

Elle me donne sa main,
Soudain le bruit s'éteint.
La nuit laisse place au jour,
Le chagrin à l'amour.

Elle me donne sa main,
Son corps est le mien.
Je me sens invulnérable,
Et de tout capable.

Elle me donne sa main,
Pareille à du satin.
Je me sens pousser des ailes,
La vie m'apparaît telle un arc-en-ciel.

Elle me donne sa main,
D'elle j'ai faim.
Sa main, symbole d'amitié,
D'amour à partager.

Elle me donne sa main,
Mon coeur devient alors plein,
D'amour et de joie,
De douceur et de toi.

A L'AUDE D'UN NOUVEAU JOUR

Une nouvelle aube se lève aujourd'hui.
Les premiers rayons l'éveillent doucement.
Elle est paisible, heureuse, et se sent épanouie,
Aussi belle que la rose rouge du printemps.

Elle s'étire langoureusement dans ses draps fins;
À ses côtés, l'homme qu'elle aime reste endormi,
Par la fenêtre le rossignol chante sa mélodie.
Cette nouvelle vie, elle l'a méritée, elle débute enfin.

Tout autour d'elle, la vie commence à s'agiter:
Dehors sur son balcon, dans sa nuisette blanche,
Elle savoure la chaleur du soleil et la brise fraiche,
Et ferme les yeux en sentant les bras de son Aimé.

Plus rien ne compte en dehors de leur amour.
Profitant de chaque instant ils restent enlacés,
Irradiant le matin d'une tendresse passionnée,
Ils sont à l'aube d'un nouveau jour.

AMOUR PASSIONEE

Depuis le jour où on s'est adressé la parole
Depuis la première fois où j'ai vu son regard
Depuis que j'ai entendu cette voix me dire ces belles paroles
Et ce regard qui disait tout sur l'avenir du soir

Comment puis-je oublier le vert de ses yeux
Et ce sourire tellement chaleureux
L’harmonie que soulevait sa voix
Sous le battement de mon coeur tremblant

Je me suis souvent demandé si je trouverais l'amour
Cet amour qui durais toujours
Si je trouverais une personne vraiment exceptionnelle
Cette personne je l'ai trouvé... elle est mon éternelle

Mon éternelle passion
Celle qui me donne envie de vivre
Et une formidable sensation
De toujours avoir envie de sourire

AMOUR ET RENAISSANCE

Lorsqu'en moi la flamme s'éteindra
Que la mort étalera sur moi son drap

Que mes yeux couverts par mes pupilles
Ne me fasse plus voir ton visage qui scintillent

Lorsque l'once de vie disparaît dans un cadavre
Faites aux coutumes religieuses une entrave

Ne m'oubliez pas dessous la terre
Avec en souvenir mon nom gravé sur une pierre

Semblable a celle de Dante
Faites raviver une dernière flamme ardente

Tandis qu'enfin mon enveloppe charnelle se repose
Que la chaleur du magma m'embrase et me décompose

Ainsi, survivront à l'oubli mes cendres
De la poussière noire, si douce et si tendre

Disperser les restes de mon corps
Le vent se chargera du transport

Aux quatre points cardinaux du globe
Recouvrant la terre fertile d'une robe

Comme le phœnix qui renaît tous les mille ans
Mes cendres prendront racine avec le temps

Je reviendrai sous la forme d'une fleur
Pour que tu me cueilles et tu me gardes près de ton coeur

MA TERRE,MA PROMISE

Mon esquif s'est échoué au rivage de ta peau
Naufragé volontaire sur une île oubliée
J'ai foulé ce pays sur la pointe du coeur
Mon regard s'est ouvert sur des vallées nacrées
J'ai touché de mes mains, terre de douceur
Je me suis enivré des parfums les plus hauts

Dans son coeur de verdure, j'ai découvert l'Eden
Des torrents de douceur nés de sources de miel
Des forêts de tendresse aux arbres majestueux
Des oiseaux de légende aux couleurs arc-en-ciel
Fruits gorgés de soleil aux nectars capiteux
Au milieu de l'atoll, le palais d'une Reine.

Tout en haut du volcan, un coeur ne battait plus
Je l'ai pris contre moi pour le gonfler d'amour
Je l'ai serré si fort qu'il est entré en moi
Il s'est fondu au mien et revit au grand jour
Je vivrai pour toujours dans ce pays de rois
J'ai fini mon voyage, je ne partirai plus

TROUVER L'AMOUR

Trouver l'amour et le garder,
Entretenir la flamme
De la passion pour s'y consumer
Ou se réchauffer de tendresse,
Partager, écouter, comprendre,
Embrasser, caresser, chérir
Chaque jour sans relâche
Son objet de désir,
Pleurer et rire ensemble,
Endurer les problèmes
Avec courage et patience,
Partager les merveilles
Que nous donne la vie...
Tel est le secret bien gardé
De ceux qui ont toujours envie
De s'aimer

ETRE AIMEE TOUT SIMPLEMENT

Un moment de tendresse
un moment de caresses
un moment de partage
une nuit de pleine lune.

Quand nos regards se sont croisés
malgré la gêne montante en moi
je me laisse bercer et guider par tes mains
caressant une partie de mon corps
disparue pour me laissé vivre.

Ta délicatesse et ta tendresse
m'amène à croire qu'elle est encore là
où qu'elle est revenue comme par magie
mais encore plus par ta finesse.

Être aimée physiquement c'est importante
dans la vie de ceux qui sont amoureux
mais être aimé véritablement c'est aussi rare
que la recherche de l'or ou les chimères
n'existent plus que dans nos têtes.

J'ai trouvé un ange aux mains douces
à l'âme sincère, aux paroles réconfortantes,
d'une délicatesse songée, avec un coeur fragile
et d'une honnêteté incroyable et je découvre
que je suis encore une femme.

En ce jour je marchais seul dans le désert
de l'oubli à la recherche de celui
qui m'apporterait à l'oasis de la vie.

HISTOIRE D'AMOUR ETERNELLE

Il lui avait promis être à ses cotes jusqu'à ce que la mort les sépare,
La chérir de tout coeur dans la santé et la maladie
De faire de leur union un splendide départ,
Et vivre profondément leur destin, leur vie...

Ils ont vécus chaque jour intensément,
En affrontant les embûches et les tourments
En éduquant leurs enfants par leur amour,
Pour les imprègnes de leur valeur à tous les jours.

Le temps s'est écoule comme un sablier,
En ayant constamment dans leurs regards le feu sacre
Gravant chaque souvenirs en eux,
Grandissant toujours en amour et heureux...

Vins le jour où la maladie les sépara,
Jusqu'au dernier soupir il ne la quitta
Gardant jusqu'à la fin les étoiles au fond de leur yeux,
S'enlaçant en oubliant les adieux...

Parce que tout deux savaient éperdument,
Que tôt ou tard ils se retrouveraient
Pour contempler à nouveau ensemble leurs dévouements,
Leurs enfants, leur destin et ce à jamais.

Leurs retrouvailles ne seront pas pour demain,
Le temps de son envol fut prématuré
Mais encore et toujours on l'aperçoit de loin,
Leur feu sacre de leur amour, leur fierté

Vivant a jamais dans l'âme de cet homme,
Qui sourit à chaque souvenir qui revient...
Remerciant mille et une fois tout les dieux de ce monde,
D'avoir eu le courage de lui demander sa main...

L'AMOUR C'EST SA

C'est un feu d'artifice qui jaillit dans vos yeux,
comme milles étincelles sur la voûte des cieux.
C'est vos doigts enlacés,
ces baisers volés.
C'est ce sourire radieux
quand vous vous regardez dans les yeux.
C'est la complicité de ces moments à deux
que l'on ne peut comprendre qu'en étant amoureux.
Ce sont ces petits riens qui font le quotidien,
mais qui hissent pour vous une écharpe de liens.
C'est la joie d'être ensemble
chaque jour, chaque instant.
C'est d'aimer, recevoir, partager sans mélange
et se sentir touchés par la grâce des anges.
C'est construire son nid
pour s'y mettre à l'abri.
C'est vivre à deux les joies,
autant que les soucis.
C'est d'avoir un rocher ou pouvoir s'appuyer
si un vent ennemi vous faisait trébucher.
C'est trouvé chaque soir le chemin de ses bras
pour pouvoir ronronner comme un chat.
C'est divin! C'est magique! Ca s'appelle l'amour!
Pour vous comme pour moi ça rime avec toujours

POURQUOI S'AIMER

Pourquoi y croire.
Pourquoi y penser.
Pourquoi le vouloir.
Pourquoi l'oser.

Parce que dans ce monde et cette vie de misère
Il donne un espoir de bonheur et de joie.
Parce que dans nos coeurs fragiles d'une douceur amère
Il donne une raison à notre si belle foie.

Pourquoi lui sourire.
Pourquoi lui montrer.
Pourquoi l'entretenir.
Pourquoi l'idolâtrer.

Parce que dans les bons comme les pires moments,
Il donne une envie de vivre et d'apprécier.
Parce que dans son feu des plus ardents
Il donne l'espoir de se voir récompenser.

Pourquoi en goûter.
Pourquoi en jouir.
Pourquoi le louer.
Pourquoi le maintenir.

Parce que nous les hommes nous en avons besoin,
Pour pouvoir déguster son si beau plaisir.
Parce que sans lui, c'est l'impression d'un vide au loin,
Que seul lui peut combattre et détruire.

Pourquoi s'en nourrir.
Pourquoi s'en abreuver.
Pourquoi s'investir.
Pourquoi s'aimer.

Parce qu'au fond de nous, il nous donne faim,
De tout ce qu'il pourrait nous apporter.
Parce qu'après tout, lorsque sa flamme brûlante nous rejoins,
Il nous berce et sait nous faire danser.

LE BAISER DE LA BELLE

Hier soir, mon chemin croisa celui d'une demoiselle,
Dont les yeux brillaient comme ceux d'une jeune gazelle;
C'était au clair de lune, sur la plus jolies des plaines,
Et la brise était caresse sur mes deux joues d'ébène;

Nos âmes furent rapprochés par la chaleur de minuit,
Mielleuse attraction divine a l'aube de nos deux vies,
Et il a suffit d'un seul baiser de la belle,
Pour que la douceur de sa présence me paraisse irréelle;

Etrange sensation que j'éprouve pour une inconnue,
Le Destin sait parfois nous jouer bien des tours,
J'ai découvert sur ses lèvres un arome que je croyais perdu,
Est-ce cela que les poètes appellent "Amour"?

J'ai demandais a mon coeur ce qu'il en pensait,
Il m'a dit: "Jeune homme, laisse-moi avec cette reine,
Si Amour est folie, alors je suis fou d'elle!"
Pouvais-je contester pareille vérité?

La belle était femme si belle...
C'est ce que mes yeux ont découvert;
Et cette belle est la dame que j'aime...
C'est ce que mon coeur m'a dit hier;

Désormais, lorsque je marche seul sous la pluie,
Et qu'une étoile filante traverse le Ciel Etoile,
Plus aucun voeu ne se formule dans mon esprit,
Car mon rêve d'une princesse est devenu réalité.

Monday, March 21, 2011

FRIENSHIP MAY BE A SIMPLE THING

Friendship may be a simple thing
but lots of love, it can bring

Things to share and talk about
It's something you just can't do without

All your life, friendship lasts
through the years, You'll look back

Remembering the laughs and happy times
Along With The Cries And Sorry Sighs

Friendship can never come apart
Especially when it's straight from the heart

Friendships don't die, they continue to grow
so be sure to cherish the friendships you know.

FRIENDSHIP CONTINUE TO GROW

Friends so quickly come
And friends sometimes go
But if a friendship is true
It will always continue to grow.

For the qualities of a friend
Are too many to describe,
But one thing is certain
They're never hard to find.

Always remember that
Friends have feelings too,
Don't forget little things that matter
Like saying please, and thank you.

They often do so much
To help us out everyday,
Which is definitely why
Friends are needed in every way.

So take not for granted
The qualities of your friends,
For you never know
When you may see them again.

MY PRECIOUS FRIEND

We all need someone
To talk to in our life,
A friend to whom we run
In times of stress or strife

A friend who's always there
Throughout the years,
A friend we know will care
And take away our fears.

A friend who's always near,
Waiting for our call,
To wipe away our tears,
And lift us when we fall.

A loving friend indeed,
On whom we can depend
To fulfill our every need -
Thank you, precious friend

POWER OF A FRIEND

As I am awakened swiftly
From a deep and peaceful sleep
My heart is racing wildly
Like a million little feet.

The panic that I used to feel
Has turned to something new
A feeling of strength and power
That I have somehow learned from you.

You have empowered me
To take a look within
And find the love of a friend
Where fear had always been.

So, now I reach into the dark
And feel the ray of light
From the love a friend sends to me
Shinning bright into the night.

Friday, March 18, 2011

DEEP AS THE ROSE IS RED

Deep As The Rose Is Red

I'll give you my heart; I'll open it up,
Will you listen to its small still voice?
For soft and quiet my heart will speak
To the one I'll call my wife.

Did you hear it dear? Did you listen well?
Do you understand what it said?
For deep is the love that it speaks to you,
Deep as the rose is red.

So, take my heart and treat it well
And forever in this life,
Come walk with me, your hand in mine,
The one I'll call my wife.

OUR DESTINY

Throughout our lives, many people come and go,
But on that beautiful day when you came into mine,
Everything changed so much for me as you know.
I felt a love for you, like none other before,
You’re love for me opened whole new doors…

I believe it was destiny which brought us together,
We fell so much in love, with one another.
We share a very special kind of love,
The kind only given by the Lord above…

I think of you each morning when I arise,
It is with you my love, where my heart lies.
The love we share can not be denied,
I promise to love you for the rest of my life…

But until that wonderful day comes, my dove,
I’ll be waiting for you, my only true love.
For I know it’s our destiny to one day be together
To live our lives happily, in love with each other…

THIS FEELING OF LOVE

This feeling of love that I have for you,
A feeling so strong, so special, so new.
You give me the gift of happiness each day,
Never have I known it could be this way.
You have given your love regardless of cost,
With my heart in your care, I will never be lost.
Or never again wonder what love really means,
For now I do know it means so many things.
Understanding and caring, through good times and bad,
Sharing emotions, should they be happy or sad.
Being there for each other through laughter or tears,
At each other's side for the rest of our years.
My only wish is to be with you, my love,
For each day I pray to the heavens above.
That you always remember my feelings for you.
A feeling so strong, so special, so new!

Saturday, March 12, 2011

MY ANGEL

My Angel

My sweet beautiful angel.
Sent to me from above.
I am so grateful to have found you,
and I give you all my love.

You must have come from heaven,
because you have pretty little angel eyes.
When you gaze at me with them,
my heart begins to fly.

Your sweet angelic voice,
continuously rings in my ears.
With you by my side,
there is nothing I fear.

Whenever we are together,
You shine with a heavenly glow.
Your beautiful angel face,
raises me up from feeling low.

Yes, heaven is missing an angel,
because you are here with me.
You're my sweet, beautiful angel,
and I'll love you for eternity!

PERFECTION IN MY EYES

All I ever wanted was to be part of your heart,
And for us to be together, to never be apart.
No one else in the world can even compare,
You're perfect and so is this love that we share.
We have so much more than I ever thought we would,
I love you more than I ever thought I could.
I promise to give you all I have to give,
I'll do anything for you as long as I live.
In your eyes I see our present, our future and past,
By the way you look at me I know we will last.
I hope that one day you'll come to realize,
How perfect you are when seen through my eyes.

A CHERISED MEMORY

You came into my life,
like a arrow straight into my heart.

I dont know if this is really true,
You fill my emptiness,
Giving me happiness.

Without you i would be blue,
now that we are apart,
you are still in my heart.

I am just sitting here, fighting back a tear,
So bad, so alone.

But i am trying to have a heart of stone.
Not to think about you,
Not to think about you. and to forget i like you so.

You are my knight in the shining armor,
your memories will always stay in my heart, in my mind,

Forever, until the end of time!!!